Kia, constructeur automobile sud-coréen, a récemment annoncé son intérêt pour le marché américain avec un projet de camionnette, malgré le lancement du Tasman, son premier modèle de pickup, qui reste réservé à des marchés étrangers comme l’Australie et l’Europe.
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Une étude sérieuse pour le marché américain
Lors d’une interview accordée à Automotive News lors du Salon de la mobilité de Séoul, le PDG de Kia, Ho Sung Song, a indiqué que l’entreprise « étudie sérieusement » la possibilité de lancer un pickup destiné aux États-Unis. « Nous aurons plus de détails la semaine prochaine sur la camionnette pour les États-Unis. Mais de manière générale … nous sommes en pleine étude », a-t-il déclaré.
Un projet adapté aux réglementations américaines
Le dirigeant de Kia a précisé que la marque ne se contenterait pas de proposer le modèle Tasman sur le marché américain, car ce dernier n’a pas été conçu en tenant compte des routes et des règlements américains. Kia souhaite ainsi concurrencer des camions de taille intermédiaire tels que le Chevrolet Colorado, le Ford Ranger, et le Toyota Tacoma, avec un modèle qui sera entièrement unique.
Il convient également de noter que Kia a récemment conclu un accord avec General Motors pour un développement conjoint, ce qui pourrait ouvrir la voie à une collaboration sur un nouveau pickup. Des rumeurs circulent également selon lesquelles Hyundai pourrait obtenir sa propre version de ce même véhicule.
Une annonce officielle est attendue le 9 avril, lorsque Ho Sung Song dévoilera plus d’informations à l’occasion de la journée des investisseurs de Kia. Si tout se passe bien, le camionnette de Kia pourrait faire son apparition sur les routes américaines dans les prochaines années.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!
