Dans le contexte des politiques strictes d’immigration américaines, l’affaire de Jerce Reyes Barrios, un Vénézuélien passionné de football, soulève des questions alarmantes sur les conséquences des tatouages et des gestes innocents. Le joueur de football a été victime d’une confusion qui a conduit à sa déportation vers le Salvador, un drame qui met en lumière les pratiques de l’administration Trump.
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La passion pour Real Madrid ne lui sauve pas la mise
Jerce Reyes Barrios, âgé de 36 ans, a été arrêté l’année dernière par les agents des services d’immigration qui ont considéré son tatouage, représentant un hommage à son équipe favorite, le Real Madrid, comme une preuve d’appartenance à un gang criminel. Son avocat, Linette Tobin, décrit dans un affidavit que le tatouage comprend une couronne, un ballon de football, un chapelet et le mot « Dieu », tentant de reproduire le design de l’emblème de l’équipe espagnole.
Lors d’une interview avec ABC, Tobin a ajouté qu’un second motif de son arrestation était la découverte par le DHS d’une photo sur les réseaux sociaux de Reyes Barrios effectuant un geste de la main, qui serait également interprété comme un signe d’affiliation à un gang. En réalité, il s’agit d’un geste courant signifiant « je t’aime », fréquemment utilisé dans le rock’n’roll. Cette défense est maintenant également portée dans l’arène publique dans l’espoir de libérer son client.
Un demandeur d’asile sans antécédents criminels
Reyes Barrios n’a commis aucun crime ; les seules mentions à son encontre sont liées à une arrestation lors de manifestations contre le régime de Maduro au Venezuela entre février et mars dernier. Lors de cette arrestation, il aurait été non seulement emprisonné, mais aussi prétendument torturé par le gouvernement vénézuélien. C’est après avoir obtenu sa liberté tant attendue qu’il a pris la décision de s’exiler aux États-Unis.
Dès son arrivée, le joueur aurait légalement franchi la frontière via l’application CBP One, un dispositif mis en place par le gouvernement de Joe Biden pour réglementer l’entrée des immigrants. Il était prévu qu’il rencontre un juge de l’immigration pour finaliser son statut, mais tout cela est désormais compromis après sa déportation au Salvador, où sa famille et son avocat ignorent toujours ses lieux de détention.

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