Dans le monde de l’automobile, dénicher une bonne affaire sur un Mercedes-Benz G-Wagen est souvent un défi. Les modèles anciens, à l’apparence presque identique aux versions récentes, conservent bien leur valeur. Ainsi, même un G-Class des années 2000 avec 200 000 miles peut se vendre au-delà de 20 000 dollars. Pourtant, un récent achat de G-Wagen a laissé les experts perplexes : une transaction pour la modique somme de 5 000 dollars.
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Une offre incroyable, mais est-elle trop belle pour être vraie ?
Une telle somme pourrait sembler raisonnable pour une Mazda Miata, mais pour un G-Class, c’est inouï. Les premiers aperçus de ce G500 montrent qu’il est déjà en mouvement, même si cela est dû à un pack de démarrage, la batterie étant complètement à plat. La chaîne YouTube « G Wheel’n » a documenté l’ensemble du processus d’achat, offrant un aperçu de l’état de ce SUV. Étonnamment, les problèmes ne sont pas aussi nombreux qu’on pourrait le penser.
État général et problèmes à résoudre
Malgré la saleté accumulée, il est difficile de déceler de nombreux problèmes. Aucun signe de dommages dus à un accident n’est visible, et tous les panneaux de carrosserie sont de la même couleur. Les roues et les pneus semblent en bon état, et tous les vitres sont présentes et en place.
La raison principale de ce prix bas ? La rouille. C’est l’ennemi numéro un des SUV qui finissent dans les casses, et celui-ci ne fait pas exception. La zone sous le pare-brise, les bas de caisse, et quelques endroits sur le bouclier arrière présentent de sérieuses traces de corrosion. Cependant, en examinant le dessous du véhicule, les longerons semblent totalement exempts de rouille, du moins d’après ce que montre la vidéo.
Bien sûr, d’autres problèmes existent. Le tableau de bord affiche une multitude de voyants d’avertissement, notamment pour le niveau d’huile bas, le niveau de liquide de refroidissement faible et des feux arrière défaillants. Mais tout ceci est réparable, à condition que le moteur soit en bon état.
En fin de compte, il semble que l’acheteur ait fait une excellente affaire. La rouille sera un défi à résoudre, mais ce n’est pas comme si le châssis était complètement pourri. Nettoyer ce véhicule pourrait le rendre à hauteur de 25 000 dollars. Malheureusement, le nouveau propriétaire a d’autres projets qui impliquent de démonter le groupe motopropulseur pour terminer d’autres travaux.
Tous les G-Class ne peuvent pas être sauvés, semble-t-il.

Antoine Blondain, diplômé de l’Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), une institution qui sert de creuset aux journalistes prometteurs en France. Aujourd’hui, je suis rédacteur, auteur, et journaliste pour le site web journalpremiereedition.com, où je couvre une variété de sujets qui englobent les domaines politiques, culturels et sociaux.
Ma passion pour le journalisme a vu le jour durant mes années de formation à l’IJBA, où j’ai acquis non seulement les compétences techniques nécessaires pour exercer ce métier, mais aussi une éthique professionnelle rigoureuse. L’institut m’a offert un environnement propice pour comprendre les mécanismes complexes qui régissent les médias et la communication en général. Bonne lecture!