Victime d’une embolie pulmonaire en mars dernier, Victor Wembanyama a décidé d’exploiter son été pour dépasser ses limites physiques au-delà du basketball. C’est dans le cadre du légendaire Temple Shaolin en Chine qu’il a participé à un entraînement intensif de kung-fu, conçu pour améliorer sa flexibilité, sa concentration mentale et son « gamme de mouvements ». Wembanyama a révélé qu’il s’est parfois « faufilé » pour manger de la viande, cherchant à maintenir son poids de 240 livres tout en jonglant entre ses aspirations spirituelles et ses exigences sportives.
Sommaire
Un été d’ascension sportive
La polyvalence athlétique du pivot des Spurs s’est mise en avant à Tokyo, où il a pris part aux activités du club local Tomatos FC. Après avoir rencontré des difficultés lors de séances de jeu informelles au Costa Rica quelques mois plus tôt, Wembanyama a signé un coup franc techniquement impressionnant, prouvant que sa coordination dépasse sa grande taille. Pour lui, le soccer n’est pas qu’un simple jeu récréatif, mais un moyen d’affiner sa technique de mouvement et son équilibre, compétences essentielles pour défendre en NBA.
Retraite au Shaolin – Reboot mental et physique
La retraite au temple n’était pas un simple coup de publicité. Entraînant 6 à 8 heures par jour en kung-fu, Wembanyama a travaillé sur la mobilité des articulations et la stabilité du tronc, prenant en compte les effets physiques de sa saison de rookie. La diète constituait un autre défi : le régime végan строг a contrecarré ses besoins caloriques, le poussant à effectuer des « courses » discrètes pour obtenir des protéines. « Mon objectif était de soumettre mon corps à des choses auxquelles il n’était pas habitué », a-t-il expliqué, considérant ce séjour comme un soin préventif après sa scare thrombose.
Aperçu 2025-26 : Santé, Harper, et une nouvelle ère aux Spurs
Wembanyama aborde le camp d’entraînement avec d’énormes attentes. Après avoir enregistré en moyenne 24,3 points, 11 rebonds et 3,7 passes décisives avant sa blessure, son travail estival laisse présager un potentiel encore plus élevé, pourtant l’effectif de San Antonio soulève des questions.
Le choix de Dylan Harper en deuxième position ajoute une dimension de jeu, mais l’adresse incertaine de Harper (28.5 % à trois points à Rutgers) reflète celle de ses coéquipiers en arrière-plan, compliquant ainsi l’espace pour la domination en peinture de Wembanyama. Avec les Spurs positionnés 28ème en efficacité à trois points la saison passée, l’évolution de Wemby en tant que tireur à distance (35.5 % de réussite) devient cruciale pour libérer le jeu dynamique de Harper.

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